Every Monday morning, Still in Rock begins the week with an article featuring a bunch of recent releases. I dedicate a playlist to the very best of these articles at the end of each month (link). Make sure you don’t miss anything, join Still in Rock on Facebook (here) and WhatsApp (here). Cheers.


Chaque lundi matin, Still in Rock commence la semaine avec plusieurs sorties qui méritent leur pesant de cacahouètes biologiques. Et à la fin de chaque mois, une playlist rassemble le meilleur de ces articles (lien). Soyez sûr de ne rien manquer, rejoigniez Still in Rock sur Facebook (ici) et WhatsApp (ici). Cheers.

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Disco Junk / Collective Hardcore – 7inch
Split, Goodbye Boozy, 17 June 2020
[garage punk]

EN: Disco Junk is a band from Melbourne, yeah, again. Recently formed, it just released an great split with Collective Hardcore on the soon-to-be-legendary Goodbye Boozy Records. And it delivers everything you’d expect from an Australian punk garage band: some trash, some fun, and some trash again. Its two new tracks never fall into slacker music, but one thing’s for sure, they’re a hymn to this Australian lifestyle that we’re probably increasingly fantasizing about. I encourage you to look at its discography, songs like “Outta Melbourne” and “Mutual Hate” are real kangaroo killers.
The band that accompanies him on this split is the very good Collective Hardcore. Even dirtier, it starts with a “Panic Attack” that reminds us of the garage scene of the late 2000s. More DIY, you die. That doesn’t prevent it from delivering three excellent tracks (including “The Artist Formerly Known As Jimmy VS Diat“), yeah, it feels goooood. Collective Hardcore, I’ve got my eye on you.

FR: Disco Junk, c’est un groupe originaire de Melbourne, eh ouais, encore. Actif depuis peu, il vient de faire paraître un excellent split en compagnie de Collective Hardcore sur le presque-bientôt légendaire Goodbye Boozy Records. Et il délivre tout ce que l’on peut attendre d’un groupe de garage punk australien : du trash, du fun, du trash. Ses deux nouveaux morceaux ne tombent jamais dans le slacker, mais une chose est certaine, ils sont un hymne à ce style de vie australien que l’on est probablement de plus en plus à fantasmer. Je vous incite également à aller fouiller sa discographie, des morceaux comme “Outta Melbourne” et “Mutual Hate” sont de véritables killers à kangourou.

Le groupe qui l’accompagne sur ce split est le très bon Collective Hardcore. Un cran plus sale, il commence avec un “Panic Attack” qui nous rappelle les belles heures de la scène garage de la fin 2000s. Plus DIY, tu meurs. Cela ne l’empêche pas de délivrer trois excellents morceaux (dont “The Artist Formerly Known As Jimmy VS Diat“), ah, ça fait du bien là où ça passe. Collective Hardcore, je t’ai à l’oeil.
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Beans – All Together Now
LP, Flightless, 26 June 2020
[psych pop sixties]

EN: Beans is the new little protégé of Flightless, King Gizzard’s label. A few days ago, the band released its second album, All Together Now. As is often the case with Flightless, the bands seem to be an homage to the group as mentioned above. But Beans adds a baroque side to it, reminiscent of the sixties grandiloquence. The whole thing is often entertaining, as is the case with “Stride” and “Get It Right“, for example. All in all, the album is too demonstrative for me to get into it, but I’ll think about it for my next sunny barbecue.
FR: Beans, c’est le nouveau petit protégé de Flightless, label de King Gizzard. Il y a quelques jours, il faisait paraître son deuxième album, All Together Now. Comme souvent avec Flightless, les groupes semblent être un tribu au groupe précité. Beans y ajoute toutefois un côté foire, presque baroque, qui rappellent la grandiliquence des sixties. Le tout est souvent intéressant, comme c’est le cas de “Stride” et “Get It Right“, par exemple. Dans l’ensemble, l’album est trop démonstratif pour que je m’y attache, mais je penserai à activer sa lecture lors d’un prochain barbecue ensoleillé.



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Dogleg – Melee
LP, Triple Crown Records, 13 March 2020
[emo punk]

EN: Dogleg is a band from Detroit who released its first album in March. Talk about timing! But this didn’t stop it from getting the clamor of the emo punk scene (the one of PUP and the eternal adolescence). Not far from fat boys’ attitude, songs like “Fox” and “Prom Hell” convince us that Dogleg is an ultra-solid band that already has everything of the genre greatest. With this kind of band, there’s no pity for the melodies; they’re used incessantly until they can’t anymore. It goes from A to Z, without even the slightest break, nor the more minor burst towards punk without pop. Welcome to the eternal age, tonight is the prom, and tomorrow will be no different.
FR: Dogleg, c’est un groupe originaire de Detroit qui, le 13 march dernier, a fait paraître son premier album, Melee. Tu parles d’un timing ! Cela n’a toutefois pas empêché de groupe de s’attirer les clameurs de la scène emo punk, celle de PUP et des autres d’une adolescence éternelle. Si l’on frôle parfois la côté frat boys décomplexé, les morceaux à l’image de “Fox” et “Prom Hell” finissent de nous convaincre que Dogleg est un groupe ultra solide qui a déjà tout des plus grands du genre. Avec ce genre de groupe, il n’y a aucun pitié pour les mélodies, ils sont utilisés sans cesse, jusqu’à ne plus en pouvoir. Ça passe en force de A à Z, sans jamais le moindre repis, ni la moindre éclarcis vers un punk sans pop. La bienvenue dans l’âge éternel, ce soir, c’est le bal de prom’, et demain ne sera pas différent.

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The Wytches – “Cowboy”
Single, Cable Code Records, 10 June 2020
[psych garage]
EN: The Wytches is one of the rare bands to have released two albums in the top 100 of Still in Rock decade (link). And two of its songs are in the top 20 of psychedelic things (link), yeah, I have a lot of respect for that band. In fact, I’m scrutinizing its every move, and I’m happy to present you the first single from its third LP to be released next October. It’s called “Cowboy,” and The Wytches continues its very Quentin Tarantino adventure, showing us that Westerns have never stopped any monsters. The Wytches is the best Halloween band since The Cramps, a real UFO in that English scene often too uniform. I was talking about all this in my interview with it, and I’ll talk about it again.
FR: The Wytches est l’un de ces rares groupes à avoir fait paraître deux albums classés dans le top 100 de la décennie Still in Rock (lien). Deux morceaux sont dans le top 20 des choses psychédéliques (lien), c’est dire si je lui voue un respect certain. Je scrute donc chacun de ses mouvements, et je suis heureux de vous présenter le premier single issue de son troisième LP à paraître en octobre prochain. Il s’appelle “Cowboy“, et permet à Wytches de continuer son aventure très Quentin Tarantino : le western n’a jamais empêché les sorcières de sevir. The Wytches continue d’être le groupe le plus Halloween depuis les Cramps, un ovni dans une scène anglaise souvent trop automatisée. J’en parlais à l’occasion de mon interview avec lui, et j’en reparlerai bientôt.


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Bonus:
Ty Segall – Zebulon Sessions

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