Best of Still in Rock : Juin 2017

Juin 2017. Ohhhh man. Jamais, en écrivant l’édito du mois de mai 2017, je ne me serai douté de ce qu’il allait se passer en juillet. Vous l’avez peut-être suivi, l’interview publié en mai dernier avec Dream Machine – que je ne classais même pas parmi les 5 actualités majeures du mois – a fait l’objet d’une énorme controverse qui a conduit Castle Face a viré le groupe du label, a précipité le départ de deux membres, qui a également valu des menaces de mort aux deux Melton et j’en passe… Les articles de presse ont fleuri un peu partout, un show US a parlé de la polémique… bref, quelle drôle d’histoire ! Je ressors de ça avec une drôle d’impression, assurément déstabilisé. Quoi qu’il en soit, le mois de juin 2017 a vu de nombreux albums, certains sont excellents, on sent bien que l’été est là, le surf se propage, à la bonheur !


1. Dusty Mush : j’écrase (lien)
Cela faisait trois ans qu’on les attendait et ils sont finalement revenus pour écraser les groupies en manque de pop. Dusty Mush est le roi européen du rock’n’roll trash et noisy et qui n’en demeure pas moins violemment jouissif.

2. Charcoal Squids : je coule (lien)

Voilà l’une des claques de l’année 2017, Charcoal Squids, c’est une plongée sous-marine après avoir ingurgité un peu trop de LSD. L’expérience est unique, que vous aimiez le surf ou que vous aimiez couler.

3. Hoorsees : je spleen (lien)

Hoorsees est un projet qui est appelé à prendre de l’ampleur. Ce deuxième EP est à la base d’un savant mélange entre spleen, joie faussement étalée et garage nineties. Un jour, j’arrêterai d’utiliser le mot “spleen” pour décrire la musique du chanteur de Dr Chan, mais pas aujourd’hui.

4. Les Gimme top 5 : sluts (lien) + bad boys (lien)
Les Gimme Top 5 continuent d’animer nos mercredis. Nous avons ainsi passé en revue les meilleurs morceaux qui parlent de sluts – la suite logique arrive mercredi… – et ceux qui parlent de mauvais garçons. Vous en êtes ?

5. Les articles anachroniques : Tony Joe White (lien)

Les articles anachroniques du mois de juin 2017 ont été réduits à un seul exemplaire, mais pas le moindre : Tony Joe White. Cet article cache l’un des morceaux les plus groovy de l’histoire. Oh que oui !

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À également ne pas manquer
Th Da Freak (lien), Deep Sea Peach Three (lien), le son Texan de Blind Matty (lien), la pop dentifrice de Tony Price (lien) et l’article sur le groupe le plus blanc des Etats-Unis, j’ai nommé, Real Estate (lien).

Les vidéos lives du mois :
Slift
Volage

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