Valeur sure : Beck & le Record Club (Rock Psyché)



Beck & le Record Club. Un projet ambitieux. Beck est un artiste que l’on ne présente plus. Son génie est reconnu par l’ensemble de ses paires, ses 12 albums sont d’ores et déjà entrés dans le patrimoine mondial de la créativité, tout comme sa participation dans la réalisation de plus de 20 bandes originales de films, gorgeous.

Le Record Club est à son initiative, il s’agit là d’un groupe d’artistes, dont la composition varie sans cesse, se réunissant une journée entière, et ré-enregistrant un album ayant marqué l’histoire de la musique, en 24h. Aucun arrangement n’est prévu d’avance, il s’agit de réelles improvisions, nécessitant une bonne dose de génie. Le tout est filmé, et les vidéos sont diffusées sur le site officiel du Record Club à hauteur d’une par semaine.

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Skip Spence est ainsi le dernier artiste dont la diffusion de l’album ainsi repris est à présent complète. Pour ce, Beck a invité trois artistes, Wilco, Jamie Lidell et Feist.

Deux vidéos valent la peine d’être vues, absolument.Lawrence of Euphoria, la première, est la plus psychédélique d’entre toutes. Quoi que. La seconde, “Cripple Creek” est la preuve parfaite de la voix exceptionnelle de Jamie Lidell.



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Velvet Underground & Nico est cette fois-ci le premier groupe que le Record Club a repris. Si ce nom ne vous dit rien, de une, il vous faut remédier à cela, de deux, il vous dit en réalité quelque chose, cliquez ici. Beck y avait invité Nigel Godrich (producteur de Radiohead), Joey Waronker, Brian Lebarton (directeur musical de Beck), Bram Inscore, Yo, Giovanni Ribisi (acteur américain ayant joué dans Avatar), et Chris Holmes (du groupe WASP).

Je sélectionnerai également deux chansons. La première, “Sunday Morning“, simplement parce que l’original est génial, et que cette version l’est tout autant. Également parce que cette chanson est la première du Record Club, qui avait à l’époque (2009) frappé un grand coup. La seconde sera “Heroïn“, mythique chanson des Velvet, parait-il une retranscription à merveille de ce qu’est l’effet procuré par cette drogue sixties.








Vous en aurez compris le principe. Je vous laisse à disposition le lien du site du Record Club, une nouvelle session de reprises a d’ores et déjà commencé, à suivre donc.


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