LOOK BACK: Natural Child – Okey Dokey (2016)

Ah, the end of the decade… so here we are. To celebrate the 2010s, and to anticipate the ranking of the best albums of the last 10 years, I am starting a nostalgico-musicalo-retrospective to be featured every Monday. To this end, I bring out Still in Rock archives, a good excuse to listen to some “old” songs again and start the week in the best possible way. Here is Still in Rock new series: LOOK BACK.


La fin de la décennie… nous y voici donc. Pour fêter la fin des années 2010s, et pour anticiper le classement des meilleurs albums de ces 10 années, je débute une rétrospective musicalo-nostalgique. Et pour ce faire, je compte bien ressortir les archives Still in Rock, une bonne excuse à l’écoute de quelques “vieilles” chansons pour commencer la semaine dans la meilleure des dispositions possibles. Voici la nouvelle rubrique de Still in Rock : LOOK BACK.


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Le 19 septembre 2016, j’écrivais sur l’album Okey Dokey de Natural Child (lien):


Okey Dokey a un petit côté ringard bien dosé qui fait appel à nos instincts les plus roots. Avec cet album, on se plonge en plein dans l’époque d’une Amérique que nous ne connaitrons jamais. On y fait la fête avec tous les habitants des suburb‘ d’une ville du sud des USA. On y trouve le shérif qui négocie le prix d’un pack de bières tandis que Shany Lane, la plus belle fille du patelin, s’avance pour acheter quelques lollipop à la fraise. Le tout est enrobé par une blues-country qui joue sur une ambiance dont la stabilité permet au vieux bartender de mener tranquillement ses affaires. Et lorsqu’il est sentimental, on y trouve le big man qui a du mal à dire à sa chérie qu’il passerait bien l’après-midi à ses côtés. Okye Dokey est en somme l’occasion de s’essayer à une autre variante américaine !
En 2019, je rajouterais :


Mes premières écoutes d’Okey Dokey m’avait convaincu, mais jamais je n’aurai pensé y trouver l’un des albums que j’écouterai le plus durant la décennie. Avec cet LP, Natural Child a délivré le meilleur album de red neck des années 2010s. Il a introduit un nouveau cool, en déplaise à l’underground new-yorkais. Sans chercher le hit, il crée l’ambiance d’une vieille ville américaine, un peu poussiéreuse, mais pleine d’humanité. Quel modèle !

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