Best Of Still in Rock : Septembre 2012

Septembre 2012. Que de découvertes, d’émotions et de belles surprises. La rentrée n’a jamais été aussi belle qu’avec ce mois de septembre mené par un Tame Impala hors du commun. On ne saurait oublier les albums de Grizzly Bear, Woods ou Murals, ainsi que les nombreuses présentations que ces trente derniers jours m’ont permis de faire. Ai-je précisé que le record de fréquentation mensuel a été battu ? Merci à vous les amis et que la fête continue.






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1. Tame Impala : dantesque, inconcevable (article ici)

Tame Impala vient de délivrer un album qui restera inscrit comme la meilleure note jamais attribuée par Still in Rock à un album de Rock. Le psychédélisme du groupe est sans limites, Lonerism est un cadeau du ciel que les dieux mêmes semblent incapables de concevoir. Lonerism est l’indispensable d’une vie.


2. Mac DeMarco : le jour où King Krule a eu un frère (article ici)

Mac DeMarco est un artiste canadien dont la musique semble tout droit venue d’un studio californien partagé avec King Krule. Son prochain album est sur les rails, en attendant, on reste bouche bée devant tant de talent, une maitrise de la mélodie hors du commun.


3. Woods : Velvet Underground de la Folk Music (article ici)

Woods délivre un album, Bend Beyond, à la croisée des chemins entre Crosby Steve Nash & Young et les Velvet Underground. La folk du groupe rappelle aussi celle de Fleet Foxes, nous voilà tout droit immergés en plein dans une soirée hippie autour d’un feu de camp. Un des immanquables de l’année.

4. Grizzly Bear : une pop chimique et explosive (article ici)

Grizzly Bear inscrit petit à petit son nom parmi les plus grands artistes pop de la scène mondiale. Leur dernier opus, Shields, est très probablement leur tout meilleur, donnant à l’auditeur l’impression de découvrir la texture d’une musique nouvelle.




5. Murals : tant de nostalgie (article ici et interview)


Murals est l’un des nouveaux venus de l’année 2012, et pas des moindres. Son premier opus, On A Passing Cloud est une pure merveille, pierre précieuse travaillée par le temps. Il serait criminel de ne pas y jeter son âme.



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À également ne pas manquer : La longue vidéo psychédélique de Dirty Projectors (ici), la pop sablée de Houndstooth (ici), la délicate folk de The Staves (ici), le Concert Review de Why? avec vidéo (ici), et le rock des années 50 de King Charles The Martyr (ici).


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