LOOK BACK: TH da Freak – The Hood (2018)



Ah, the end of the decade… so here we are. To celebrate the 2010s, and to anticipate the ranking of the best albums of the last 10 years, I am starting a nostalgico-musicalo-retrospective to be featured every Monday. To this end, I bring out Still in Rock archives, a good excuse to listen to some “old” songs again and start the week in the best possible way. Here is Still in Rock new series: LOOK BACK.


La fin de la décennie… nous y voici donc. Pour fêter la fin des années 2010s, et pour anticiper le classement des meilleurs albums de ces 10 années, je débute une rétrospective musicalo-nostalgique. Et pour ce faire, je compte bien ressortir les archives Still in Rock, une bonne excuse à l’écoute de quelques “vieilles” chansons pour commencer la semaine dans la meilleure des dispositions possibles. Voici la nouvelle rubrique de Still in Rock : LOOK BACK.


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Le 17 février 2018,
je publiais un article “classé personnel”, une critique de l’album The Hood de TH da Freak à l’occasion de laquelle je qualifiais le groupe de “plus belle chose qui soit arrivée à la scène mondiale ces dernières années”. Je disais que The Hood m’avait fait comprendre que les nineties n’étaient pas que de passage dans ma vie, que je ne marchais pas vers quelque chose d’autre, un moi plus vieux qui se rappellerait ses écoutes de jeunesse avec incompréhension. Je disais avoir découvert qui j’étais avec Pavement et, finalement, l’avoir ancré avec TH da Freak.

Dix-neuf mois se sont écoulés depuis cette critique et, plus que jamais, je tiens The Hood comme étant l’une des ultimes masterpieces des années 2010s. Désormais intégré à mon top 20 des meilleurs albums de tous les temps, The Hood conserve pour moi le goût de ce qu’était la vie parisienne, les soirées à la Méca, les amitiés, les amours. Le son nineties – que TH semble disqualifier – est une constante révélation, j’en veux “I Don’t Understand” comme preuve de ce que la musique est supérieure à toutes les autres formes d’art. TH est le meilleur groupe français de (mon) histoire et The Hood demeurera son chef d’oeuvre, un album à la fois malicieux et passéiste. Il est la chose la plus cool des années 2010s.

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