Festival de Lollapalooza : Présentation des Artistes et Critique Post-Festival (review)

Critique post-festival : Le groupe joue très bien ses quelques titres connus mais n'emporte pas la foule sur le reste de leur album. Un live plaisant mais pas un souvenir inoubliable.
Critique post-festival : Je n'ai finalement pas pu assister au show pour cause de planning.

Critique post-festival : Quel grand moment de rock. Quel grand moment de Blues. Alors qu'il joue sur un soleil tombant, le groupe génère une véritable furie dans une foule parfaitement conquise. Un très très bon live.

Critique post-festival : Pour n'avoir assisté qu'à une petite partie de leur concert, les sonorités semblaient trop disparates pour véritablement séduire. Les chansons sont décousues à merveille, mais cela passe plus difficilement en live.

Critique post-festival : The Strokes où comment assister à un TRÈS TRÈS grand show de rock. Un plaisir inimaginable que de retrouver nos comparses après une absence prolongée et une séparation d'ores et déjà oubliée. Ils reviennent en mars 2011 avec un nouvel album, vivement, ce live était tellement extraordinaire que l'envie se fait déjà pressante.
Critique post-festival : J'avoue être resté sur ma faim, il faut dire qu'ils n'avaient qu'une demi-heure à jouer, la plus rapide presta de tout le festival. La magie opère néanmoins toujours avec ce groupe exceptionnel, un excellent moment à fermer les yeux et de laisser bercer de la plus belle des façons.

Critique post-festival : Après les avoir vu en première partie des Dead Weather le 31 juillet dernier, peu convaincant, voilà qui sonne bien mieux pour un groupe nécessitant une petite scène et un public réduit afin de faire résonner correctement son rock garage.

Critique post-festival : Voilà la plus belle surprise de tout le festival. Sur une des plus petites scènes de Lollapalooza, Dan Black va mettre le feu et déclencher une véritable furie dans un public peu connaisseur. Wouhaouu !

Critique post-festival : Pas de quoi tomber en transe complète, le groupe colle un peu trop à l'album (génial par ailleurs) pour se laisser aller à la déchéance. Toutefois, l'univers du groupe est respecté à merveille, ce même en plein milieu de l’après-midi, et ils finissent leur show sur un beau moment à tenter de massacrer leur batterie. Ils ne déçoivent donc pas, mais ne partent pas non plus à la conquête de nouveaux fans.

Critique post-festival : Leurs sons sont étranges au possible, et je ne rentre dans leur jeu qu'après 45 minutes d'écoute attentionnée. Un bon final aux allures psychédélique.
(mp3) Spoon - Stroke Their Brains

Critique post-festival : Quatre petites étoiles, la set-list est très bien fournie, le groupe vogue entre ses différents albums avec habilité, fait décoller quelques bras, mais ne parvient pas à plus. En deçà ce qu'il aurait été possible de faire dans un monde idéal.
(mp3) Edward Sharpe & the Magnetic Zeros - Home

Critique post-festival : Je crois le plus grand moment du festival (à voir avec les Strokes). Je m'attendais à beaucoup, j'ai eu des tonnes en plus. Le groupe nous remercie pour "la plus grande ovation qu'on ne leur ait jamais donnée ", Thomas Mars passe sa soirée à ne pouvoir s'empêcher de cacher son sourire, le public est pris dune véritable furie, assurément un de leurs plus beaux shows jamais réalisés, un des nôtres également.
(mp3) Vampire Weekend - Cousins (Mumford & Son)

Critique post-festival : Un bon rock country. La voix du chanteur est très intéressante, mais leurs sons manquent encore de la petite étincelle qui les fera décoller.

Critique post-festival : Ce groupe a le don pour trouver des sons efficaces et qui pourtant ne vous lassent pas. Ils jouent 4 nouvelles chansons, le public explose de joie, un bon show.

Critique post-festival : Deux chansons connues pas trop mal performées, pour le reste, on s'ennuie fermement, merci tout de même pour le cours de flamenco.

Critique post-festival : Je n'ai malheureusement pu assister qu'à 30 minutes de show pour me rendre à celui des MGMT (foutu schedule), mais je suis ressorti de là le sourire jusqu'aux oreilles. La plus grosse bataille interpublic du festival pour les plus gros solos. Ce groupe fait partie des performeurs mondiaux.

Critique post-festival : Soupe américaine, on ne se ressert surtout pas, et pour cause, le chanteur a la plus mauvaise voix de tout le festival !
